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Il nous arrive parfois d'être plus ou moins pessimistes au quotidien. Certains d’entre nous préfèrent même toujours s'attendre au pire pour ne pas être déçus. Cette réaction démontre bien une peur de l'échec. Comme par exemple, contacter un client pour lui faire une proposition, en s’attendant déjà à un refus au préalable, ce qui vous impactera forcément sur la forme que vous y mettrez pour le convaincre. Mais le pessimisme peut aussi être un mode de vie, tant bien professionnel que personnel, et qui s’accompagne de difficultés à avoir une vision positive.
Est-ce qu'il vous est déjà arrivé d'imaginer la pire situation, bien avant le jour d'un rendez-vous ? Par exemple, vous appréhendez votre rendez-vous avec votre manager pour donner suite à de mauvais résultats sur la semaine précédente. Ce qui vous fera angoisser et vous serez potentiellement beaucoup moins efficace dans votre travail pour la nouvelle semaine en cours. Préféreriez-vous culpabiliser jour après jour jusqu’au rendez-vous avec votre manager ? Ou alors, rester concentré, travailler sur la semaine en cours et vous inquiéter seulement au moment venu ? Dans une situation, vous serez angoissé jusqu’à votre rendez-vous, en étant moins productif qu'habituellement, et dans l’autre, vous serez efficace pour préparer au mieux la semaine d’après.
Il peut arriver de commettre des erreurs (car nous ne sommes pas parfaits) mais les reproduire jour après jour parce que vous n’arrivez pas à en retenir les leçons, c’est autre chose.
Quel était votre rêve quand vous étiez enfant ? C’était sûrement un rêve inatteignable si nous le regardons maintenant, mais nous nous devons d'aspirer à retrouver l’ambition que nous avions quand nous étions enfants.
La vie d’une personne pessimiste est malheureusement stressante, anxieuse et négative, car nous nous attendons toujours au pire et souvent, on a tendance à ne pas vouloir se surpasser.
Nous pouvons retrouver aussi cette négativité dans le milieu sportif. Le premier record du monde sur le 100m homologué était détenu en 1912 par Don Lippincott en 10,6 secondes et le premier à le battre ne sera pas avant 1968, Jim Hines en 9,96 secondes. Avant Jim Hines, tout le monde disait que c’était impossible de le battre, que nous arrivions à la limite du corps humain. Il a fallu attendre plus de 50 ans avant de pouvoir passer sous la barre des 10,6 secondes. Une fois battu, on disait "Non mais sa performance était vraiment exceptionnelle, ça n'arrivera plus."
Jusqu’à l’arrivée du nouveau record en 2009 par Usain Bolt en 9,58 secondes. Certains diront que les athlètes sont dopés, d’autres voudront le battre. Certains sortiront des excuses, et d'autres des solutions. Imaginez si on conditionnait tous les athlètes en leur disant que ce record était la limite de l’humain. Quelle serait l’utilité de continuer de s’entraîner ?
Quant à nous, dans cette conférence, nous trouverons des solutions pour lutter contre le pessimisme, la négativité et surtout pour nous aider à la vaincre.
Comme dirait Albert Einstein, « ceux qui pensent que c’est impossible sont priés de ne pas déranger ceux qui essaient. »
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Corentin HERY
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